L'adversaire








Dire de L’adversaire qu’il raconte l’obsession première de son auteur : voir, entendre, sentir et goûter à nouveau son enfance perdue, pour retrouver sa pureté et son innocence, pour garder son âme farouche et rebelle. Le cinéma de Satyajit Ray est voué à retrouver l’odeur envoûtante du frangipanier au pied duquel il devait se réfugier pour révasser et se prélasser, à pouvoir retrouver la lumière authentique et tendre d’un paradis immaculé duquel il s’est exilé, à en retrouver ses bruits et ses charmes.

1 commentaire:

Adeline a dit…

très belle scène en effet que celle de la terrasse ^^.