Rancho Bravo



Non content d’aimer filmer John Wayne, Andrew V. McLaglen aimait aussi filmer James Stewart, de sorte qu’il lui a offert, dans Rancho Bravo, avant Bandolero, l’un de ses rôles les plus touchants, à savoir celui d’un cowboy vieillissant et entêté à la recherche d’un taureau anglais perdu dans les landes texanes enneigées vouées à l’élevage de bêtes à cornes. Tout çà pour mettre le grand échalas dans les bras de Maureen O’Hara. McLaglen aimait aussi filmer des familles formidables ethniquement recomposées. A l’image d’un petit veau rouquin et moelleux, fruit de l’union entre une vache à cornes texane à poils durs et d’un taureau britannique à poils soyeux.

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