Dracarys...







Car, oui, Mario Bava, à l'image de son héros Diabolik, aurait pu s'appeler Lucifer version latine (ante-biblique) aka l'étoile du matin ou encore le porteur de lumière. Donc un Lucifer plein de noblesse, épris de beauté. Avant qu'il ne soit diffamé sous l'ère chrétienne. Diabolik, comme Bava, ne pénétrait jamais son héroine sans son plus bel apparat. Quitte à le faire avec une porsche rutilante, un phallus intergalactique, ou une armure de chevalier ignifugé. Pompier, mais aussi pyromane quand c'est le bon moment. Pour toujours combler le tunnel vif argent.

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