A la queue leu leu : Les belles et la bête





Une bandaison comme un hommage qui ne déçoit jamais, une sève -et non semence- qui ne tarit pas d'éloge de celle qui la reçoit -partout mais jamais où le bigot la destine- dans un cadre bucolique et ébrieux. La Bête de Walerian Borowczyk, comme allégorie, donne aux belles force, vigueur et vitalité sans se soucier du quand dira le bourgeois et le fin de race, obsédés à l'idée de se perpétuer. A tout prix.

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